Abbe Pierre: son héritage dans la chanson

Dans les chansons, que reste-t-il de l'abbé Pierre ?
          Après les récentes révélations sur son passé, retour sur l'aura du fondateur d'Emmaüs dans notre culture populaire.

Suite aux récentes informations divulguées concernant son histoire personnelle, il est intéressant de se pencher sur l’influence qu’a eu le créateur d’Emmaüs dans notre société contemporaine.

Un héritage artistique indélébile

De nombreux Français, et en particulier les artistes, voyaient en l’abbé Pierre une référence incontestable. Ben l’Oncle Soul, par exemple, exprimait en 2010 son admiration pour cet homme, trois ans après sa disparition. Sa voix unique et son rôle de boussole morale ont marqué des générations entières.

L’appel de la bonté

En 1954, son célèbre appel à la radio a déclenché ce qu’on a nommé « l’insurrection de la bonté ». Tryo a exprimé le sentiment que cette bonté était oubliée à la mort de l’abbé, mais en 2008, sa parole reste vivante à travers des enregistrements de ses poèmes, comme celui interprété par Lambert Wilson.

Les chansons qui font l’actu

Dans le second épisode de l’émission « Ces chansons qui font l’actu », diffusé récemment, plusieurs artistes ont rendu hommage à l’abbé Pierre à travers leurs chansons :

– « No pasaran » de 2024

– « Soulman » de Ben l’Oncle Soul en 2010

– L’appel du 1er février 1954 de l’Abbé Pierre

– « Toi et moi » de Tryo en 2008

– « Poème de l’abbé Pierre » par Lambert Wilson en 2008

– « Au temps où les abbés » de David McNeil en 1972

– « Jésus » de Laurent Voulzy en 2001

– « Troisièmes couteaux » de Bernard Lavilliers en 1994

– « J’ai retrouvé mon flingue » de Renaud en 2006

– « Yalil (la fin des haricots) » de Mickey 3D en 2002

– « Les Jours sans moi » d’Alain Souchon en 1985

– « Jésus » de Laurent Voulzy en 2001

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Source de l’article : Francetvinfo

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