Julien Si tu ne connais pas encore Electrelane, t’inquiète, t’es pas seul. Ce groupe indie rock britannique, né à Brighton à la fin des années 90, a pourtant tout ce qu’il faut pour te convaincre de sortir ta playlist Spotify et d’ajouter leurs morceaux en boucle. Allez, installe-toi, je te raconte pourquoi ils méritent que tu leur donnes une chance. Spoiler : ça implique du talent, des claviers hypnotiques, et une vibe très « libre comme l’air ».
Une histoire de passion, de Brighton à la scène internationale
En 1998, Verity Susman et Emma Gaze, deux copines avec une passion commune pour la musique, décident de monter un groupe. Pas pour devenir des rock stars – non, juste pour faire du bruit, créer des sons, et kiffer. Et spoiler : elles y sont super bien arrivées. Après quelques essais, elles sortent leur premier album, Rock It to the Moon en 2001. Tu sais ce genre d’album qui t’embarque direct dans un univers parallèle ? Voilà. Un mélange de post-rock et d’expérimental qui te donne l’impression d’être dans un rêve musical.
Mais Electrelane, c’est plus que des morceaux qui claquent. C’est aussi une belle leçon d’évolution. Elles ont commencé avec des sons instrumentaux avant de jouer avec des paroles et des voix, toujours en explorant. Résultat : chaque album est une surprise. Leur discographie, c’est un peu comme une série Netflix avec des saisons où chaque épisode te réserve quelque chose de nouveau.
Les membres : pas juste des noms sur une pochette d’album
On parle souvent des figures principales du groupe : Verity (la multi-instrumentiste qui te fait des solos de clavier de malade) et Emma (la batteuse qui ne connaît pas le mot « pause »). Mais Electrelane, c’est aussi Mia Clarke et Ros Murray, qui ont chacun apporté leur grain de folie et leur énergie brute au projet. Une bande de meufs talentueuses qui n’ont jamais eu peur d’aller à contre-courant des tendances musicales.
Une discographie qui mérite ton attention (et tes écouteurs)
Electrelane, c’est quatre albums studio et des tonnes de pépites à découvrir. Allez, petite liste rapide pour te motiver :
- Rock It to the Moon (2001) : parfait si tu veux un shot d’énergie pure et un son instrumental hypnotique.
- The Power Out (2004) : là, elles commencent à jouer avec les voix, et c’est un régal.
- Axes (2005) : un peu plus sombre et complexe, mais toujours aussi captivant.
- No Shouts, No Calls (2007) : l’album qui te colle un sourire en mode « waouh, c’est si beau ».
Chaque album a son style, mais tous ont ce petit truc indescriptible qui te pousse à écouter encore et encore. Et franchement, tu veux vraiment passer à côté de ça ?
Leur style musical : un OVNI qui fait du bien
Décrire la musique d’Electrelane, c’est comme essayer de décrire une couleur à quelqu’un qui ne l’a jamais vue. Post-rock, expérimental, indie rock… Oui, mais encore ? Leur marque de fabrique, c’est une utilisation quasi-magique des claviers, une basse qui groove et des batteries qui claquent. Imagine une fusion entre Neu!, Sonic Youth et Stereolab, avec une touche très personnelle. Bref, c’est unique, et ça vaut le détour.
Pourquoi Electrelane, c’est toujours pertinent aujourd’hui
Alors oui, elles ont fait une pause en 2007. Mais leur musique, elle, n’a pas pris une ride. Elles ont même annoncé des retrouvailles il y a peu, ce qui prouve que leur impact est toujours là. Et honnêtement, si tu cherches un groupe qui sort des sentiers battus, qui te surprend et qui te transporte, elles sont faites pour toi.
Fais vivre leur musique
Voilà, maintenant que tu sais tout, t’as plus d’excuse pour ignorer Electrelane. Lance un de leurs albums, laisse-toi embarquer, et surtout, partage cet article à tes potes mélomanes ou curieux. Et si tu veux prolonger l’expérience, j’ai mis quelques liens vers des vinyles et des goodies à ne pas louper. Parce que oui, leur musique, c’est encore mieux en physique. Allez, file écouter, et on se reparle après !
