Nouveaux impôts : l’imagination fiscale des artistes passée au crible

Alors que le gouvernement Barnier est confronté à la nécessité de trouver de nouvelles sources de financement, il est intéressant de se pencher sur les idées créatives en matière de fiscalité proposées par les artistes.

La fiscalité en chanson : quand l’impôt devient musique

Alors que le nouveau gouvernement français doit trouver de nouvelles sources de revenus pour l’Etat, certains envisagent une possible augmentation des impôts. Pourtant, la chanson n’est pas toujours le meilleur moyen d’aborder ce sujet délicat, comme le montre la chanson de Sim en 1973 :

« Les impôts c’est drôlement tarte et pourtant c’est pas du gâteau ».

Les Français, en général, n’apprécient pas les impôts, en particulier l’impôt sur le revenu des personnes physiques, vieux de plus d’un siècle et régulièrement remis en question. Les gouvernants cherchent constamment à le rendre plus acceptable aux citoyens.

Les chansons qui parlent d’impôts

On retrouve ainsi des chansons abordant le thème de l’impôt à différentes époques :

– Paul Lack en 1909 avec « L’Impôt sur le revenu »

– Jacqueline Joubert en 1961 avec « La Déclaration d’impôts »

– Doc Gynéco en 2001 avec « J’sais pas remplir ma feuille d’impôts »

– Johnny Hallyday en 1983 avec « Signes extérieurs de richesse »

– Florent Pagny en 2003 avec « Ma liberté de pensée »

– Jean Yanne dans le film « Erotissimo » de Gérard Pirès en 1969

– Robert Rocca en 1861 (enregistrement de 1960) avec « Les Impôts »

– Laura Neumann et Ingrid Perruche, La Clique des Lunaisiens, en 1867 (enregistrement de 2016) avec « L’Impôt sur les célibataires »

– Marty en 1930 avec « L’Impôt sur les feignants »

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Source de l’article : Francetvinfo